Hello à tous !
Un nouveau numéro de mes avis en vrac ça vous tente?
Alors GO, quatre avis pour le prix d’un !
En espérant que ce format vous convient, car moi il me plaît bien.
L’erreur – Susi Fox
Thriller – Editions Fleuve collection Noir – 360 pages
Le pire est arrivé. Mais personne ne vous croit.
Sasha a toujours voulu un bébé.
Sa grossesse se déroule à merveille, jusqu’au jour où elle se retrouve à l’hôpital pour subir une césarienne d’urgence. À son réveil, elle demande à voir son enfant. Alors qu’elle s’attend à vivre un moment magique, Sasha plonge dans un cauchemar bien réel. Le nourrisson qu’on
lui amène n’est pas le sien.
La jeune mère n’a aucun doute, même si personne ne la croit. Ni les infirmières qui évitent ses questions, ni son mari qui essaie de la convaincre, ni sa meilleure amie, appelée au secours.
Pour tous, Sasha souffre d’un stress lié aux circonstances de la naissance. Mais ce serait oublier combien l’instinct d’une mère est profondément ancré en elle, en dépit des apparences.
Si le bébé devant elle n’est pas le sien, où est passé son enfant ? Et qui a pu faire cette erreur ?
On dirait un téléfilm de M6 ou TF1, d’ailleurs c’est comme si je regardais ma télévision à travers les lignes de ce roman.
Pas mal de longueurs, certains flash-back inutiles à mon sens, et un peu tiré par les cheveux à certains moments.
C’est assez psychologique et la révélation finale est surprenante.
Un bon moment de lecture.
Né sous une bonne étoile – Aurélie Valognes
Contemporain – Editions Mazarine – 326 pages
A l’école, il y a les bons élèves … et il y a Gustave. Depuis son radiateur au fond de la salle, cet éternel rêveur scrute les oiseaux dans la cour ou les aiguilles de la pendule qui prennent un malin plaisir à ralentir. Il aimerait rapporter des bonnes notes à sa mère, mais ce sont surtout les convocations du directeur qu’il collectionne. Pourtant, Gustave est travailleur. II passe plus de temps sur ses devoirs que la plupart de ses camarades, mais contrairement à Joséphine, sa grande-soeur pimbêche et première de classe, cela ne rentre pas.
Pire, certains professeurs commencent à le prendre en grippe et à le croire fainéant. Parfois, il suffit d’un rien pour qu’une vie bascule du bon côté… Un roman universel, vibrant d’humour et d’émotion.
Un peu déçue de ce dernier roman de l’auteure.
On y aborde les thèmes de la scolarité, de la différence sociale, de l’échec scolaire, de la famille, de l’entraide.
J’ai trouvé ce roman un peu plat comparé aux précédents même si les sujets sont bien abordés.
Je retiens juste qu’il faut savoir saisir la main que l’on peut nous tendre car celle-ci peut vous porter bien plus loin que ce que vous penser pouvoir aller.
Comme toi – Lisa Jewell
Thriller – Editions Milady – 382 pages
Ellie a disparu à l’âge de quinze ans. Sa mère n’a jamais réussi à faire son deuil, d’autant plus que la police n’a retrouvé ni le coupable ni le corps. Dix ans plus tard, cette femme brisée doit pourtant se résoudre à tourner la page. C’est alors qu’elle fait la connaissance de Floyd, un homme charmant, père célibataire, auquel elle se lie peu à peu. Mais lorsqu’elle rencontre la fille de celui-ci, Poppy, âgée de neuf ans, le passé la rattrape brutalement : cette fillette est le portrait craché de sa fille disparue…
Véritable page-turner, ce thriller psychologique vous attrapera rapidement dans ces filets.
J’ai beaucoup aimé l’alternance de narration entre les différents personnages ainsi que la temporalité passé / présent qui donne un bon rythme à l’histoire.
L’acharnement de la mère d’Ellie est très touchant.
Malgré le fait qu’on devine pas mal de choses concernant l’intrigue, la révélation finale vous laissera sans voix.
La ferme du bout du monde – Sarah Vaughan
Contemporain – Editions Le livre de poche (Préludes) – 470 pages
Cornouailles, une ferme isolée au sommet d’une falaise. Battus par les vents de la lande et les embruns, ses murs abritent depuis trois générations une famille… et ses secrets.1939. Will et Alice trouvent refuge auprès de Maggie, la fille du fermier. Ils vivent une enfance protégée des ravages de la guerre. Jusqu’à cet été 1943 qui bouleverse leur destin. Été 2014. La jeune Lucy, trompée par son mari, rejoint la ferme de sa grand-mère Maggie. Mais rien ne l’a préparée à ce qu’elle y découvrira. Deux étés, séparés par un drame inavouable. Peut-on tout réparer soixante-dix ans plus tard ? Après le succès de La Meilleure d’entre nous, Sarah Vaughan revient avec un roman vibrant. Destinées prises dans les tourments de la Seconde Guerre mondiale, enfant disparu, paysages envoûtants de la Cornouailles, La Ferme du bout du monde a tout pour séduire les lecteurs de L’Île des oubliés, d’Une vie entre deux océans et de La Mémoire des embruns.
Le résumé avait tout pour me plaire, surtout avec ces mots: « La Ferme du bout du monde a tout pour séduire les lecteurs de L’Île des oubliés, d’Une vie entre deux océans », car ces deux romans ont étés des véritables coups de cœur.
On voyage dans les Cornouailles à deux époques différentes mais qui se lies entre elles.
Une saga familiale entre seconde guerre mondiale et moment présent.
L’amour, la famille et surtout les secrets de famille sont au cœur de ce roman.
La partie historique m’a vraiment captivée comparé à la partie sur le moment présent ,surtout par rapport au personnage de Lucy avec lequel je n’ai pas accroché plus que cela.