Aujourd’hui sur le blog, je vous propose de découvrir Jules Mudhiac, auteur auto-édité de « La symétrie de l’effet » son premier roman, qui sortira le 23 février 2018, vous pourrez retrouver ma chronique juste ICI.
https://www.la-symetrie-de-leffet.com/
1/ Bonjour Jules, peux-tu te présenter rapidement à nos lecteurs ?
Je suis un quasi trentenaire. Je vis en région parisienne. Jules Mudhiac est un nom d’emprunt. Cela me permet de conserver une zone de liberté à laquelle je tiens beaucoup.
J’ai fait des études scientifiques. Je travaille aujourd’hui dans le monde du web.
Je viens de publier mon premier roman, La Symétrie de l’Effet en autoédition.
Je suis un éternel optimiste. C’est pour moi un leitmotiv ! Même si de temps en temps ça me joue des tours, j’essaye toujours de voir les choses du bon côté.
2/ Quand as-tu commencez à écrire ?
Je n’ai jamais beaucoup écrit. Je n’ai jamais tenu de journal intime, par exemple.
L’écriture est donc arrivée assez subitement. C’est avant tout la possibilité pour moi de raconter des histoires, et c’est véritablement ça que j’adore.
J’aime énormément la photo et la musique qui sont, aussi, une façon d’écrire des histoires.
On peut donc dire que l’écriture est arrivée pour moi un peu par accident.
3/ Ou trouve-tu l’inspiration pour écrire tes romans ?
Le monde qui nous entoure est pour moi une source d’inspiration permanente.
Je trouve que nous connaissons une époque très déstabilisante, parfois assez décourageante, mais qui regorge aussi de beaucoup de trésors cachés.
On ne prend plus beaucoup le temps de chercher les jolies choses qui nous entourent. Je trouve ça dommage.
J’aime m’inspirer de cela : cette façade très critiquable et parfois désolante autant que toutes les jolies choses qu’on ne prend plus le temps de voir.
4/ Parlons de ton livre “La symétrie de l’effet”: peux-tu nous dire où et comment a surgi cette idée de roman ?
Beaucoup se plaignent de ne jamais avoir échangé un mot avec leur voisin de palier, de ne jamais avoir discuté avec certains collaborateurs en dehors de réunions formelles, et bien évidemment de ne pas réussir à rencontrer l’amour.
Pourtant nous sommes inondés aujourd’hui de moyens censés faciliter ces rencontres : réseaux sociaux, réseaux professionnels, sites de rencontre.
Alors pourquoi n’y arrivons-nous pas ?
Je crois que c’est une vraie question. Je crois surtout qu’au-delà de l’anecdote, cette propension à ne plus s’ouvrir aux autres forgera un vrai problème générationnel à l’avenir.
Involontairement ou pas, on a tous oublié ce que signifie « rencontrer quelqu’un ».
D’ailleurs posez-vous la question suivante : combien de rencontres avez-vous faites dans votre vie ? Je trouve ce constat terrifiant. C’est un des points de départ de La Symétrie de l’Effet. C’est un thème central du livre, parfois pas toujours bien interprété d’ailleurs.
C’est très représentatif de notre temps ! On ne réfléchit plus trop, on est beaucoup dans l’immédiateté et dans la facilité.
5/ Quels sont tes projets futurs concernant l’écriture ?
C’est incroyablement chronophage. Je n’ai pas beaucoup de temps pour autre chose. Je n’ai donc pas beaucoup réfléchi à la suite.
J’ai toujours fonctionné à l’envie et je continuerai à le faire.
En résumé pour la suite : rien n’est défini et rien n’est défendu non plus…
6/ Un roman coup de cœur ?
7/ Un dernier mot ?
Sympa 😉